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ZFE : les véhicules Crit’Air 5 interdits de circuler dans 11 grandes villes, à partir de ce 1er janvier

À partir du 1er janvier 2023, les véhicules Crit’Air 5 sont concernés par les restrictions de circulation mises en place dans les zones à faibles émissions (ZFE).

Cela représente plus de 250.000 voitures et utilitaires légers.

Onze grandes villes ont déjà instauré une ZFE.

Première échéance pour les ZFE. À partir de ce 1er janvier 2023, tous les véhicules Crit’Air 5 ou qui n’ont pas de vignette seront concernés par les restrictions ou interdictions de circulation mises en place dans les zones à faibles émissions de onze métropoles. Plus de 250.000 voitures et utilitaires légers sont concernés.

L’interdiction partielle ou totale de circulation s’impose effectivement à toutes les voitures et utilitaires diesel produit avant 2001. Les bus, autocars, comme les poids lourds diesel, sont aussi concernés s’ils sont produits, eux, avant octobre 2006.

Peu de sanctions

Actuellement, 11 agglomérations françaises ont d’ores et déjà dû instaurer une ZFE. Par conséquent, circuler ou stationner dans Aix-Marseille, Lyon, Toulouse, Rouen, Nice, Montpellier, Toulon, Strasbourg, Grenoble, Reims avec un véhicule non autorisé est passible d’une amende de 68 euros. Pour les poids lourds, bus et autocars, l’amende est de 135 euros.

Le Grand Paris est aussi concerné, sachant que son dispositif est plus sévère. Depuis déjà le 1er juin 2021, ce sont plus de 780.000 véhicules non classés, Crit’Air 5 et Crit’Air 4 qui n’ont plus le droit de circuler. Jusqu’à présent néanmoins, peu de sanctions ont été mises en place, la pédagogie étant plutôt mise en avant.

Interdire la circulation des véhicules les plus polluants

Le dispositif des zones à faibles émissions prévoit d’interdire l’accès à certaines agglomérations à tout véhicule polluant afin de protéger la qualité de l’air. Santé publique France estime effectivement que chaque année, 40.000 décès sont liés aux particules fines.

Introduit en 2019 par la loi mobilité et étendu par la loi climat et résilience en 2021 à toutes les agglomérations de plus de 150 000 habitants, il est graduellement imposé aux véhicules en fonction de leur vignette Crit’Air. Ainsi, si ce sont les véhicules Crit’Air 5 qui sont visées cette année, au 1er janvier 2024, ce sera au tour des Crit’Air 4 (diesel avant 2006) puis des Crit’Air 3 (diesel avant 2011 et essence avant 2006) le 1er janvier 2025.

 

Source : www.tf1info.fr

4 janvier 2023par Julie Arfi
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Voitures électriques : les meilleurs choix en occasion

Les offres de voitures électriques d’occasion se développent enfin. Des premières Renault Zoé aux dernières Tesla, il y en a presque pour toutes les bourses et tous les besoins. Nous dressons un tableau des meilleurs choix basés sur nos tests et essais.

Intimement lié au marché du neuf, celui des véhicules d’occasion s’électrifie lui aussi. Si les voitures électriques ne représentent encore que 0,87 % des ventes d’occasion, nous a confié Éric Champarnaud, président d’Autoways, l’offre se développe enfin. Ainsi, on dénombre aujourd’hui plus de 16 000 annonces en ligne.

Les voitures électriques que l’on trouve le plus en occasion

1/ Renault Zoé

Sans surprise, le modèle le plus représenté sur le marché des voitures électriques d’occasion est la Renault Zoé. Il s’agit d’un véhicule équivalent à la Clio dans la gamme. La Zoé, qui brille par son homogénéité dans sa catégorie, est un choix pertinent selon nous.

Lancée en 2013, la citadine polyvalente était équipée d’une batterie de 22 kWh utiles pour une autonomie en cycle NEDC de 210 km (Q210), puis de 240 km avec l’arrivée d’un nouveau choix de moteurs (R240). Il faudra toutefois attendre 2017 pour voir arriver une Zoé dotée d’une plus grosse batterie, à savoir un pack de 41 kWh utiles. Cette “nouvelle” Zoé est connue sous le nom Z.E. 40. L’autonomie de cette version atteint 400 km, toujours sur l’ancien cycle NEDC, selon le choix de moteur. Outre l’autonomie et les performances, le moteur choisi fait également varier les performances de recharge de la Zoé. Enfin, la dernière mouture est baptisée Z.E. 50. Il s’agit de la version toujours commercialisée aujourd’hui. Apparue en 2019, elle embarque une nouvelle batterie de 52 kWh utiles pour une autonomie de 395 km, cette fois en cycle WLTP plus proche de la réalité. Elle profite en plus d’un restylage accompagné d’un intérieur modernisé. La location de batterie était imposée en France jusqu’en avril 2018. Renault a par la suite proposé sa Zoé en achat intégral, désormais la seule option d’achat, la location de batterie ayant disparu début 2021.

Sur le marché de l’occasion, les premières Zoé ont subi une décote importante, en partie due à l’obligation de louer leur batterie. On en trouve sous les 5000 € pour les modèles les plus kilométrés et un budget de 7000 € permet de s’offrir un modèle en finition haut de gamme à moins de 50 000 km au compteur. La location de la batterie revient ensuite à une petite centaine d’euros par mois en fonction du kilométrage. Il est toutefois possible de racheter la batterie à la DIAC, filiale financière de Renault, à un tarif variable selon les mensualités déjà versées. Pour les premiers modèles, on peut estimer la valeur de rachat de la batterie entre 3000 et 4000 €. Pour s’offrir une Zoé Z.E. 40, comptez environ 9000 € pour un exemplaire cœur de gamme à moins de 50 000 km en location de batterie, ou environ 16 000 € en achat intégral. Enfin, la version Z.E. 50 réclame a minima 14 000 € en location de batterie ou 22 000 € en achat intégral.

2/ BMW i3

Ce n’est peut-être pas l’une des premières voitures électriques qui nous vient à l’esprit, mais la BMW i3 est bel et bien le deuxième modèle le plus représenté sur le marché de l’occasion. Comme la Zoé, la carrière de cette citadine est longue et a connu de nombreuses versions. Elle se démarque par un look original et un intérieur cossu. Elle n’est toutefois pas des plus pratiques avec ses portières arrière antagonistes, seulement quatre places à bord et un petit coffre. Enfin, BMW a tenu à lui octroyer un comportement routier digne de la marque. L’i3 est assez ferme, légère pour une voiture électrique (moins de 1,3 t pour les modèles les plus légers) grâce à l’utilisation de plastique renforcé de fibre de carbone (PRFC), mais également puissante (170 ch envoyés aux roues arrière). Si l’i3 n’est pas la citadine électrique la plus polyvalente, elle est sympathique à conduire et son look, aussi bien extérieur qu’intérieur, la distingue.

La première version, appelée 60 Ah, embarque une batterie de 18,2 kWh utiles pour une autonomie de 160 km en cycle NEDC. L’i3 s’est fait remarquer en proposant en option un prolongateur d’autonomie (REx) sous la forme d’un bicylindre essence placé sous le plancher de coffre. Grâce à un réservoir de 9 l, il permet environ de doubler l’autonomie, mais il ne s’agit alors plus d’une voiture 100 % électrique (ces versions entrent dans la même catégorie que les hybrides rechargeables). En 2016, BMW a lancé la version 94 Ah dotée d’une batterie de 27,2 kWh utiles, portant l’autonomie à 300 km en cycle NEDC. Elle proposait elle aussi le même prolongateur d’autonomie en option, augmentant cette dernière de 50 % environ. Une version sportive i3s a également fait son apparition, disponible en tout-électrique ou avec le prolongateur d’autonomie. Enfin, en 2018 est apparue l’i3 120 Ah, toujours commercialisée, avec sa batterie de 37,9 kWh utiles. Ce nouveau pack permet à la citadine de revendiquer jusqu’à 310 km d’autonomie en cycle WLTP. Si la version i3s profite aussi de cette nouvelle batterie, le prolongateur a été abandonné, l’autonomie électrique ayant été jugée suffisante. Attention également aux options sélectionnées par le premier propriétaire. Comme d’habitude chez BMW, le catalogue d’équipements optionnels est long et comprend notamment différentes options de recharge (AC et DC).

Avec leur autonomie limitée, les premiers modèles (60 Ah) sans prolongateur se trouvent à un tarif bien plus doux qu’à leur lancement. Comptez à partir de 12 000 € environ, tandis que les modèles avec 50 000 km au compteur se négocient aux alentours de 15 000 €. Les exemplaires avec prolongateur d’autonomie réclament environ 3000 € de plus. Il faut ajouter environ 3000 € pour une version 94 Ah, alors que les dernières versions 120 Ah se négocient à partir de 20 000 €.

3/ Peugeot e-208

La Peugeot e-208 est dérivée de la seconde génération de 208, la citadine polyvalente de Peugeot. Apparue seulement fin 2019, elle est déjà la troisième voiture électrique la plus représentée sur le marché de l’occasion. Concurrente de la Zoé, elle est plus dynamique à conduire. On pourra toutefois lui reprocher une interface dépassée.

L’e-208 n’a connu des évolutions techniques que très récemment. Elle dispose d’une batterie de 46,2 kWh utiles pour une autonomie de 340 km (WLTP) à son lancement, et d’un moteur électrique de 100 kW (136 ch).

Il faut compter à partir de 20 000 € pour s’offrir une Peugeot e-208 avec quelque 20 000 km au compteur. Les occasions “0 km”, immatriculées mais qui n’ont jamais roulé, peuvent être dénichées à partir de 23 000 €, soit près de 3500 € moins cher que le prix catalogue à configuration identique.

4/ Nissan Leaf

Éclipsée petit à petit par des rivales plus contemporaines, la Nissan Leaf fait partie des premières voitures électriques modernes. La première génération de la compacte a été lancée en 2011 en France. Elle était à l’origine équipée d’une batterie de 21,5 kWh utiles pour une autonomie de 175 km selon le cycle NEDC. En 2013, Nissan a apporté de nombreuses modifications à sa Leaf. Cette nouvelle version voyait son autonomie NEDC passer à 200 km. Le constructeur en a profité pour proposer la Leaf avec une location de batterie, sous la dénomination commerciale Flex. Enfin, en 2016, Nissan a introduit une version à batterie de 27 kWh utiles à la gamme pour une autonomie NEDC de 250 km.

La seconde génération de Nissan Leaf est apparue en 2018 et lancée avec un pack de 40,6 kWh utiles pour une autonomie WLTP de 270 km. Une version affublée d’une batterie de 60,2 kWh utiles a complété la gamme l’année suivante, baptisée Leaf e+, permettant de parcourir 385 km avec une charge selon le cycle mixte WLTP. La puissance de la Leaf atteint 110 kW (150 ch) et celle de la Leaf e+ 160 kW (217 ch). L’un des principaux défauts de la Leaf est sa recharge. Ses puissances de charge sont en effet assez basses (6,6 kW en courant alternatif et 50 kW en courant continu, ou 100 kW pour la Leaf e+) et l’absence de refroidissement liquide de la batterie peut brider la charge en courant continu en conditions réelles. Enfin, cette dernière s’opère via un connecteur CHAdeMO peu répandu en France.

Aujourd’hui, on trouve des Nissan Leaf de première génération à partir de 6000 €. Les versions avec batterie de 27 kWh utiles sont dénichables à environ 10 000 € pour un modèle haut de gamme avec 50 000 km au compteur et batterie incluse. Les Leaf de seconde génération démarrent quant à elles à environ 15 000 €. Plus récentes, donc souvent moins kilométrées, les Leaf e+ se trouvent à partir de 25 000 €.

5/ Volkswagen ID.3

C’est la plus récente de ce top 5 ; la Volkswagen ID.3 a été maintes fois repoussée et n’est produite que depuis fin 2019. Il s’agit d’une compacte dont les dimensions sont proches de celles d’une Golf. Elle a inauguré la plateforme MEB dédiée aux voitures électriques du groupe Volkswagen, qui lui permet d’octroyer un bon rapport habitabilité/encombrement. Elle est aussi équipée des dernières technologies de la marque. Attention, cette modernité peut se montrer déroutante en matière d’ergonomie.

Dès son lancement, l’ID.3 s’est vue proposer dans de multiples configurations avec différents moteurs et batteries. Trois packs sont disponibles : 45 kWh (ID.3 Pure, 350 km d’autonomie WLTP), 58 kWh (ID.3 Pro, 425 km d’autonomie WLTP) et 77 kWh (ID.3 Pro S, 544 km d’autonomie WLTP) de capacité utile. Notez que certaines ID.3 Pro S ne disposent que de quatre places assises.

La majorité des ID.3 actuellement disponibles sur le marché de l’occasion sont peu kilométrées (occasions “0 km”, modèles de démonstration…). Leurs tarifs sont donc encore très proches de ceux pratiqués sur le marché du neuf. Comptez à partir de 27 000 € pour une ID.3 Pure et 29 000 € pour une ID.3 Pro. À l’heure où nous écrivons ces lignes, les seules ID.3 Pro S d’occasion disponibles affichent un tarif supérieur à leur valeur neuve.

Notre sélection de modèles qui méritent votre intérêt

Volkswagen e-up! 2.0/Seat Mii electric/Škoda Citigoᵉ iV

Commençons cette sélection par non pas un modèle, mais trois, puisqu’il s’agit des Volkswagen e-up! 2.0, Seat Mii electric et Škoda Citigoᵉ iV. Ces trois cousines du groupe Volkswagen se distinguent uniquement par un style et une gamme légèrement différents. Elles sont dérivées de modèles thermiques apparus en 2011 — tout de même — sur le segment des mini-citadines. Elles rivalisent donc avec les Smart EQ forfour, Renault Twingo E-Tech électrique et Dacia Spring. Elles se démarquent avec un bon rapport habitabilité/encombrement et une autonomie meilleure que leurs rivales. Elles font cependant l’impasse sur un écran tactile central.

En 2013, la Volkswagen up! a été la première à proposer une version électrique appelée e-up! et équipée d’une batterie de 18,7 kWh de capacité utile pour une autonomie NEDC de 160 km. Toutefois, la version qui nous intéresse aujourd’hui est l’e-up! 2.0 née en 2019 et dotée d’un pack de 32,3 kWh utiles pour une autonomie de 260 km (cycle WLTP). Les Seat Mii electric et Škoda Citigoᵉ iV partagent leur fiche technique avec la Volkswagen e-up! 2.0. Aujourd’hui, seule cette dernière est encore commercialisée, ses deux cousines ayant eu une carrière très courte. Elles n’en constituent pas moins de très bons achats en occasion.

Ces modèles étant très récents, les occasions les plus kilométrées atteignent tout juste les 10 000 km au compteur. L’e-up! 2.0 est la plus répandue de cette triplette, mais aussi la plus chère, tandis que la Citigoᵉ iV se fait particulièrement rare, ayant eu la carrière la plus courte. Elles sont trouvables à partir de 15 000 € environ, soit à peine moins que leur tarif neuf bonus déduit. L’arrivée de la Dacia Spring vendue neuve à moins de 12 500 € pourrait toutefois faire baisser la facture.

Kia e-Niro

Le Kia e-Niro est sans doute l’une des offres les plus pragmatiques sur le marché des véhicules électriques. Il s’agit de la version 100 % électrique du SUV compact Niro. Il présente une polyvalence appréciable et permet d’envisager des longs trajets sans trop de crainte pour la version 64 kWh. Autre argument de l’e-Niro : sa garantie 7 ans ou 150 000 km (y compris pour la batterie). On regrette toutefois que ses puissances de charge soient assez limitées : 7,2 kW en courant alternatif (11 kW en option) et 77 kW en courant continu.

Lancé en 2018 et restylé en 2020, l’e-Niro propose au choix une batterie de 39,2 ou 64 kWh de capacité utile. La première version offre une autonomie de 289 km (WLTP) et la seconde jusqu’à 455 km. Sans surprise, c’est cette dernière qui a attiré le gros des commandes. Le choix de batterie a d’ailleurs aussi un impact sur la puissance de l’e-Niro avec 100 kW (136 ch) en version 39,2 kWh et 150 kW (204 ch) en version 64 kWh.

Les e-Niro 39,2 kWh sont très rares sur le marché de l’occasion. On trouve donc principalement des versions 64 kWh. Pour un modèle haut de gamme avec environ 50 000 km au compteur, il faudra compter quelque 25 000 €. Les modèles restylés, donc plus récents, réclament une rallonge de près de 3000 € en moyenne à kilométrage équivalent.

Tesla Model 3

Enfin, nous ne pouvions pas ne pas aborder la Tesla Model 3. La plus petite des berlines électriques du constructeur a commencé sa carrière européenne en 2019. Elle jouit de nombreuses qualités, comme ses consommations très basses, l’accès pour le moment exclusif aux Superchargeurs, ou encore l’Autopilot. Il s’agit d’ailleurs de l’actuel meilleur choix de notre comparatif dans sa version Grande Autonomie. On pourra toutefois lui reprocher son approche minimaliste qui ne plaira pas à tout le monde, ou encore sa qualité de fabrication assez aléatoire.

Mieux vaut bien se renseigner avant d’acquérir une Model 3 d’occasion, tant le modèle a connu de versions différentes depuis son lancement. Dans les grandes lignes, sa gamme s’articule autour de trois versions. La première constitue l’entrée de gamme. Auparavant appelée Model 3 Autonomie Standard Plus, elle a été renommée Model 3 “tout court” à l’occasion de ses dernières évolutions (autonomie actuelle de 491 km WLTP). Viennent ensuite les versions Dual Motor à transmission intégrale. Il en existe deux : la Model 3 Grande Autonomie (autonomie actuelle de 614 km WLTP) et la Model 3 Performance (547 km WLTP aujourd’hui). Comme leur nom le laisse entendre, l’une offre la meilleure autonomie alors que l’autre est davantage axée… sur les performances. Durant sa carrière européenne, la Model 3 a reçu ses principales évolutions à l’occasion de l’année modèle 2021, mais la gamme est en constante évolution. Certains exemplaires livrés en France ont été produits aux États-Unis et d’autres en Chine. La Model 3 compte donc presque autant de versions différentes que de jours de production.

La décote subie par la Tesla Model 3 est faible. On en trouve à partir de 35 000 € environ en version Autonomie Standard Plus. Pour les modèles Grande Autonomie, il faut prévoir une rallonge d’environ 5000 € et 8000 € pour une Model 3 Performance.

Conclusion

Si les voitures électriques d’occasion ne peuvent pas répondre à tous les besoins, l’offre s’étoffe et se diversifie, en particulier sur les occasions récentes. Si vous cherchez un véhicule plus ancien, le choix de modèles est plus limité et il faudra faire attention à certains éléments comme une autonomie souvent restreinte et des batteries parfois en location. Nous vous recommandons dès lors de bien vous renseigner avant un achat pour ne pas faire d’erreur.

 

Source : www.lesnumeriques.com

 

 

16 décembre 2022par Julie Arfi
CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE

Top 15 des meilleures citadines d’occasion en 2022

Pour se déplacer dans les grandes agglomérations ou dans les villes mal desservies par les transports en commun, l’achat d’une petite citadine est la solution idéale. Découvrez les 15 meilleures citadines d’occasion, récente ou plus ancienne, à choisir en fonction de votre budget.

Comment choisir la meilleure citadine d’occasion ?

Plusieurs critères sont à prendre en compte pour choisir la meilleure voiture citadine. Entre le tarif, l’énergie, le type de carrosserie, vous devez faire le tri pour faire votre sélection. Une occasion récente vous permet de profiter d’une voiture en parfait état avec un faible kilométrage pour un prix réduit. Optez pour l’une des meilleures citadines de 2021 pour éviter de la payer le prix fort.

Essence, diesel ou électrique ? Quelle énergie choisir ?

Les meilleures citadines sont probablement les électriques. Elles permettent de rouler en ville sans émettre de CO2 et dans le plus grand des silences. Leur dynamisme est appréciable pour s’insérer dans la circulation aux heures de pointe, mais il faut pouvoir les recharger facilement. Pour ceux qui préfèrent rouler avec un moteur thermique traditionnel, de nombreux modèles sont disponibles avec une motorisation essence, en particulier sur les petites citadines. Les citadines de taille supérieure peuvent se trouver en version diesel comme la Renault Clio ou la Citroën C3.

Combien coûte une citadine à l’usage ?

Que ce soit en essence ou en diesel, une citadine à une consommation moyenne oscillant entre 3,5 et 5 litres au 100 km. Le parcours va influencer son appétit, mais elle reste assez économe. L’entretien de ces petites motorisations est proposé à tarif attractif. La vidange d’une Twingo essence peut se faire pour 99 € en centre auto avec le remplacement du filtre.Les pneumatiques de dimensions réduites, souvent en 14 ou 15“, sont vendus entre 50 et 75 € pièce pose comprise. L’assurance est également peu cher. Un conducteur avec 50 % de bonus assuré au tiers bris de glace ne paiera guère plus de 200 € annuel pour une petite citadine garée dans un garage clos.Le coût d’utilisation d’une citadine est donc particulièrement faible, ce qui en fait une bonne alternative aux transports en commun lorsqu’ils ne desservent pas notre domicile ou notre lieu de travail.

Quelle citadine d’occasion acheter en 2022 ?

La place de la citadine la plus vendue en France en 2021 revient à la Peugeot 208, en 2020, elle avait cédé la place à sa rivale, la Clio de Renault. Le duel avec cette dernière depuis de nombreuses années pourrait bien arriver à son terme à l’avenir avec la Dacia Sandero qui lorgne sur les deux premières places du podium avec sa nouvelle version restylée.

Quelles sont les meilleures citadines essence ou diesel ?

Le marché de la citadine est très dynamique. Les constructeurs font évoluer régulièrement leur modèle et leurs motorisations. Le choix est vaste, mais certains modèles se démarquent entre un design affirmé ou un choix de motorisation plus varié.

Renault Clio

La Renault Clio est arrivée à sa 5ème génération. Vendue à plusieurs millions d’exemplaires depuis la Clio 1 présentée en 1990, la citadine du constructeur français progresse d’année en année. Elle est maintenant déclinée en motorisation essence E-Tech ou en diesel avec l’incontournable bloc 1.5 dCi délivrant 100 chevaux. Cette puissance est particulièrement adaptée à la Clio qui est une voiture assez légère. Le couple généreux du diesel lui permet d’obtenir de belles performances tout en étant peu gourmande en gazole.

Peugeot 108

La petite citadine du groupe Stellantis, également proposée chez Citroën sous l’appellation C1 et chez Toyota avec l’Aygo. On trouve ce modèle équipé d’une motorisation essence de 68 ou 70 chevaux, largement suffisant pour ce modèle destiné à un usage résolument urbain. La fiabilité est au rendez-vous, ce qui en fait un très bon choix grâce à un prix d’achat relativement bas même pour un modèle récent et peu kilométré.

Citroën C3

Au fil des années, le style de la Citroën C3 a beaucoup évolué. Au départ, sa carrosserie tout en rondeur rappelait vaguement la silhouette de l’antique 2CV. Depuis, la ligne de la citadine au double chevron s’est modernisée. La C3 est disponible en motorisation essence PureTech ainsi qu’avec les moteurs 1.5 BlueHDI. Son habitacle est plus grand que la petite C1, mais le gabarit de la voiture reste mesuré pour stationner facilement en ville tout en profitant d’un coffre de taille correcte.

Opel Corsa

La petite citadine d’Opel écume les routes d’Europe depuis des décennies. Les dernières générations profitent d’une ligne moderne et d’un habitacle confortable. Entre les moteurs essence et les versions CDTI, il y a l’embarras du choix. Le 1.7 CDTI est assez performant pour emmener la citadine hors des agglomérations et s’autoriser quelques escapades à la campagne.

Seat Ibiza

Depuis que Seat est passé sous le giron du groupe Volkswagen, l’Ibiza profite des motorisations de ce dernier. Entre les blocs TSI et les diesel TDI, l’Ibiza offre un bon compromis entre son équipement et le prix. La fiabilité est en hausse et la ligne de la citadine espagnole est dynamique. Elle s’offre un habitacle bien pensé et fonctionnel.

Dacia Sandero

Si la première génération de Sandero n’a pas beaucoup de charme, la seconde version est beaucoup plus agréable à regarder. Dacia est devenu une marque importante sur le marché automobile français. Sa gamme évolue rapidement pour offrir, en plus d’un prix très bas, des véhicules assez bien équipés et une allure plus moderne. La Sandero 2 est un bon choix pour qui veut une voiture récente à bas prix. La fiabilité de la marque est souvent citée en exemple dans la presse spécialisée.

Toyota Yaris

La petite japonaise fabriquée en France est toujours au rendez-vous. Cette citadine évolue au fil des années. Les motorisations sont performantes et particulièrement économes en carburant que ce soit en essence ou en diesel. La fiabilité est également au rendez-vous, Toyota fait honneur à sa réputation sur ce point.

Volkswagen Polo

La Polo fait de la résistance. La citadine de Volkswagen franchit les années en accumulant de l’expérience. Toujours plus séduisante, la Polo voit également sa finition s’améliorer génération après génération. Disponible en 3 ou 5 portes, elle est parfaite pour les déplacements quotidiens en ville. Petit véhicule idéal pour emmener les enfants à l’école, elle est également dotée de bonnes aptitudes routières, en particulier avec ses moteurs TDI qui lui offrent de bonnes reprises.

Quelles sont les meilleures citadines électriques ?

Les voitures électriques ont le vent en poupe, en particulier dans ce segment très disputé. Quelles sont les meilleures citadines électriques disponibles sur le marché de l’occasion ?

Renault Zoé

La Renault Zoé est devenue la référence française en matière de citadine électrique. Elle est commercialisée depuis 2013. Si la ligne n’a pratiquement pas évolué, en dehors d’une nouvelle face avant en 2020, c’est sous la carrosserie que la citadine électrique de Renault a progressé. La batterie est passée de 22 kWh à 52 kWh et les moteurs électriques offre une plus grande puissance pouvant atteindre jusqu’à 135 chevaux. Le coffre, profond, est de bonne dimension pour ce segment. La dernière génération profite de l’intégration Apple Carplay.

Renault Twingo ZE

Après avoir rencontré le succès avec la Zoé, le constructeur au losange a déployé sa technologie électrique sur sa mini citadine, la Twingo. Elle est dotée d’une petite batterie de 22 kWh qui lui permet d’atteindre une autonomie d’environ 200 km voire plus en parcours urbain, particulièrement favorable à la voiture électrique grâce au freinage régénératif qui permet de recharger la batterie en roulant lors des phases de ralentissement. Elle est encore assez rare sur le marché de l’occasion, mais elle représente une bonne alternative.

Peugeot e-208

Encore récente, la e-208 est la déclinaison électrique de la citadine sochalienne. Elle dispose d’une batterie de 50 kWh et d’une motorisation de 136 chevaux. À l’aise aussi bien en ville que sur le réseau secondaire, elle est une véritable rivale de la Renault Zoé. Elle rejoue le duel Peugeot – Renault sur ce segment. La charge rapide DC peut atteindre une puissance de 100 kW soit le double de la Zoé de dernière génération.

DS3 Crossback e-Tense

Avec sa marque haut de gamme, le groupe Stellantis a fait le choix de proposer son petit crossover urbain, le DS3 Crossback, en version électrique. Elle hérite de la même motorisation que l’e-208 ainsi que de sa batterie de traction de 50 kWh. Cette version e-Tense profite d’une finition haut de gamme et d’une belle habitabilité en 5 portes. La puissance maximale de la charge rapide est là aussi de 100 kW.

Fiat 500e

La petite citadine italienne au look sexy s’offre une version électrique. La puissance du moteur atteint un honorable 118 chevaux. La batterie est disponible en deux capacités. La première de 23,7 kWh offre une autonomie de 185 km WLTP. La seconde capacité, de 42 kWh, lui permet d’atteindre 313 km. Elle accepte la recharge rapide jusqu’à 85 kW, de quoi récupérer 80 % de son autonomie lors d’une pause de 35 minutes.

Volkswagen e-Up!

La petite citadine de Volkswagen est un bon choix pour circuler en ville. Elle est compacte et elle se gare très facilement grâce à son hayon horizontal. La première version a reçu une batterie de 18,7 kWh lui offrant une autonomie d’environ 140 km. Elle a laissé sa place pour une version de 32,3 kWh. Ainsi, la petite e-Up! peut atteindre 260 km WLTP.

BMW i3

BMW est l’un des pionniers européens de la voiture électrique. Discret sur ce segment jusqu’à récemment, la citadine i3 est pourtant commercialisée depuis plusieurs années. Elle a été déclinée en plusieurs versions. Son autonomie oscille entre 150 et 325 km suivant la capacité de la batterie. Son style est assez décalé et résolument moderne, mais la qualité de fabrication et la finition sont dignes des BMW à motorisation essence ou diesel.
Source : www.carizy.com
12 décembre 2022par Julie Arfi
CHEZ VOTRE CONCESSIONNAIRE

Voiture d’occasion : achat chez un professionnel

Le vendeur professionnel de voitures d’occasion a des obligations vis-à-vis de son client, et notamment une obligation d’information et de délivrance des documents de vente. Le point sur la protection de l’acheteur.

Quelles sont les informations à fournir par le vendeur professionnel de voiture d’occasion ?

Le client qui se rend chez un professionnel en vue d’acheter un véhicule d’occasion doit pouvoir bénéficier d’une information claire, précise et fiable au sujet du véhicule qu’il souhaite acheter. Ainsi, les véhicules proposés à la vente doivent disposer d’un étiquetage respectant certaines règles. Cet étiquetage doit en effet être positionné de façon visible et sans ambiguïté sur le véhicule concerné. Cet affichage doit comporter des caractères lisibles, apparents, de dimension similaire. Par ailleurs, plusieurs mentions obligatoires doivent figurer sur ces affichages. Outre le prix exprimé toutes taxes comprises (TTC), les affichages doivent indiquer :

  • la « dénomination de vente » c’est-à-dire les principales informations relatives au véhicule : la marque, le type, le modèle, la version du véhicule, ainsi qu’éventuellement la variante du modèle. En outre, les informations relatives à la date de la 1re mise en circulation (année et mois) doivent figurer sur les affichages.
  • l’indication de la vétusté du véhicule (le kilométrage). Le kilométrage sera soit garanti par le vendeur s’il a acquis le véhicule neuf ou s’il peut le justifier, soit indiqué à titre informatif suivi de la mention « non garanti » dans le cas d’un véhicule acquis d’occasion par le professionnel.

Toutes ces informations doivent être scrupuleusement conformes à celles indiquées sur le document échangé lors de la vente, que ce soit une facture, un bon de livraison ou bien encore un bon de commande.

Quels sont les documents à remettre par le vendeur de voitures d’occasion ?

Forme écrite

En cas d’achat d’un véhicule, le vendeur professionnel de voitures d’occasion doit impérativement fournir un document écrit à l’acheteur. Ce document comprend un certain nombre de mentions obligatoires. Les voici :

  • la dénomination de vente ;
  • la date de la 1re mise en circulation (mois et année) ;
  • le kilométrage qui peut être garanti par le vendeur (véhicule neuf ou présence de justificatifs), ou non garanti ;
  • l’acheteur ne doit pas être induit en erreur au sujet du prix d’achat du véhicule. Il doit être stipulé toutes taxes comprises. Par ailleurs, le montant d’éventuelles prestations complémentaires doit être clairement affiché ;
  • les délais de livraison doivent également être clairement établis ;
  • les modalités de financement : les mentions « au comptant » (sans recours au crédit bancaire) ou « à crédit » (crédit proposé par le vendeur, ou à l’initiative de l’acheteur) doivent être indiquées sur le bon de commande. Lorsqu’un client a recours au crédit, l’achat du véhicule est subordonné à l’obtention du prêt. De plus, ce dernier bénéficie, à compter de la signature de l’offre préalable de crédit d’un délai de rétractation de 14 jours.

Contrôle technique

Tout véhicule proposé à la vente et dont la première mise en circulation remonte à plus de quatre années doit faire l’objet d’un passage au contrôle technique. Cette étape constitue une obligation à la charge du vendeur. Le contrôle technique permet en effet de vérifier les principaux points de sécurité relatifs au véhicule mis en vente (châssis, suspension, essieux, direction, freinage, éclairage, roues, carrosseries, équipements). L’acheteur potentiel doit disposer du rapport du contrôle technique avant que n’intervienne la vente.

La visite au contrôle technique ne doit pas dater de plus de 6 mois au moment de la conclusion de la vente. Si le rapport du contrôle technique est remis à l’acheteur après la vente, cela constitue une infraction pénale.

Carte grise et formulaires

Une fois la vente effectuée, le vendeur doit remettre certains documents à l’acquéreur afin de permettre l’immatriculation du véhicule. Ces documents sont les suivants :

  • le certificat d’immatriculation (la carte grise) barré et comportant la mention « cédée ou vendue le … ». Ce document doit être signé par le vendeur ;
  • un certificat de cession ;
  • un certificat de non-gage (certificat de situation administrative) en date de moins d’un mois ;
  • un certificat de contrôle technique ayant été effectué mois de six mois avant la vente ;
  • et le cas échéant, une attestation de garantie commerciale.

Que faut-il vérifier avant d’acheter chez un professionnel des voitures d’occasion ?

L’achat d’une voiture d’occasion, même à un professionnel, n’est pas un contrat anodin. Il implique donc une certaine prise de conscience de la part de l’acquéreur. Voici donc quelques conseils de bon sens :

  • vérifier consciencieusement plusieurs éléments de la voiture comme l’aspect extérieur et intérieur du véhicule, sans oublier les points techniques liés au moteur.
  • vérifier scrupuleusement le contenu du carnet d’entretien du véhicule, notamment les factures relatives à l’entretien. Par contre, le vendeur n’est pas contraint de remettre ces informations à l’acheteur. Mais la non-divulgation de ces informations peut s’avérer suspecte.
  • essayer de comparer le kilométrage affiché sur le compteur avec celui communiqué par le vendeur, et ceux figurant sur le carnet d’entretien et les factures. Cette étape permet de déceler éventuellement certaines incohérences.
  • effectuer un essai du véhicule, afin de vérifier que le moteur fonctionne correctement, que la tenue de route est conforme aux attentes de l’acquéreur…

Enfin, sachez que le vendeur d’un véhicule d’occasion est soumis à la garantie des vices cachés prévue par l’article 1641 du Code civil. Par conséquent, si un vice caché est découvert sur le véhicule après la vente, vous pouvez agir contre le vendeur pour demander un remboursement. Pour ce faire, vous devez lui envoyer une lettre de demande de remboursement pour vice caché sur un véhicule d’occasion.

 

Source : droit-finances.commentcamarche.com

16 novembre 2022par Julie Arfi

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