Une pratique dangereuse pour tous ceux qui roulent abusivement sur la voie du milieu sur autoroute qui risque d’être sanctionné d’une amende de 35 euros minorée à 22 euros sans perte de point. En revanche, ces conduites à risque entraîne d’autres mauvais comportements, les automobilistes qui doublent par la droite risquent la perte de 3 points en moins sur leur permis et 135 euros d’amende.
Et pour les professionnels de la voie du milieu sur l’autoroute, l’utilisation de la voie centrale en réalité présente de nombreux risques. Beaucoup de gens se collent aux autres sur la voie du milieu, ce qui entraîne et oblige des véhicules plus rapides à la doubler par la droite, ce qui est une autre infraction ! Ces gens qui roulent au milieu sur autoroute sont-ils de vrais danger ? Merci d’avoir regardé la vidéo jusqu’à la fin Bonne semaine et bonnes vacances à tous ☀️😅
Dans cette vidéo, nous décryptons le comportement des français au volant
00:00 Pourquoi les gens roulent-ils au milieu 00:30 Les raisons 01:00 La nuisance sur la route 01:50 Les bonnes actions sur autoroute 04:00 Une vision 360 sur voir rapide 05:00 Une conduite à risque 05:30 Les motards sur la route 07:00 Ceux qui restent à gauche 08:00 Restez courtois sur route 10:00 l’état des routes en France Ces gens qui roulent au milieu sur autoroute sont-ils de vrais danger ?
Une pratique dangereuse pour tous ceux qui roulent abusivement sur la voie du milieu sur autoroute qui risque d’être sanctionné d’une amende de 35 euros minorée à 22 euros sans perte de point. En revanche, ces conduites à risque entraîne d’autres mauvais comportements, les automobilistes qui doublent par la droite risquent la perte de 3 points en moins sur leur permis et 135 euros d’amende.
Et pour les professionnels de la voie du milieu sur l’autoroute, l’utilisation de la voie centrale en réalité présente de nombreux risques. Beaucoup de gens se collent aux autres sur la voie du milieu, ce qui entraîne et oblige des véhicules plus rapides à la doubler par la droite, ce qui est une autre infraction ! Ces gens qui roulent au milieu sur autoroute sont-ils de vrais danger ? Merci d’avoir regardé la vidéo jusqu’à la fin Bonne semaine et bonnes vacances à tous ☀️😅
Dans cette vidéo, nous décryptons le comportement des français au volant
00:00 Pourquoi les gens roulent-ils au milieu 00:30 Les raisons 01:00 La nuisance sur la route 01:50 Les bonnes actions sur autoroute 04:00 Une vision 360 sur voir rapide 05:00 Une conduite à risque 05:30 Les motards sur la route 07:00 Ceux qui restent à gauche 08:00 Restez courtois sur route 10:00 l’état des routes en France Ces gens qui roulent au milieu sur autoroute sont-ils de vrais danger ?
De plus en plus de maires souhaitent interdir de fumer au volant durant l’été, en raison du risque d’incendies lié aux canicules.
Depuis quelques semaines, la France subit une très forte vague de chaleur. Une canicule qui se prolonge et qui pose bien évidemment de nombreux problèmes, et notamment la sécheresse. En effet, le manque de pluie assèche les sols mais également les végétaux. Conséquence, ces derniers sont plus sensibles aux feux, et les incendies se sont alors multiplié ces derniers temps. Une véritable catastrophe pour l’environnement, mais également pour les agriculteurs touchés. Dans la plupart des cas, ces feux sont accidentels. Mais ils ne se déclenchent toutefois pas tous seuls et sont généralement provoqués par une intervention humaine, même si celle-ci n’est pas volontaire. On pense bien sûr aux tessons de bouteilles, mais également aux mégots de cigarettes jetés au sol par les automobilistes. Un véritable fléau que veulent stopper certains maires.
De nombreuses règles
En effet, de nombreux élus mettent en place des mesures afin d’interdire les automobilistes de fumer au volant. Car pour l’heure, et depuis toujours, cette pratique est tout à fait légale. Il est en effet autoriser de se griller une petite cigarette en conduisant, à condition d’avoir toujours les capacités de réagir en cas de problème. En revanche, il est strictement interdit de fumer en présence d’un mineur sous peine de recevoir une amende de 135 €. Il est également prohibé de jeter sa cigarette par la fenêtre, ce qui équivaut aussi à une peine de 135 €. Celle-ci passe à 3 750 € si cette infraction occasionne des dégâts sur la voie publique. Comme un incendie par exemple. Mais il n’est en aucun cas interdit de fumer, alors que 25 % des fumeurs le font aussi en voiture.
Vers une interdiction totale ?
Néanmoins, certains élus souhaiteraient donc qu’il soit totalement interdit de fumer dans sa voiture, tout du moins durant l’été. Certains ont d’ailleurs déjà pris des arrêtés en ce sens, comme le maire de Saint-Jean d’Illac en Gironde en 2019. D’autres souhaitent aller plus loin. Pascal Parmentelat, le maire de Laveline-du-Houx dans les Vosges a en effet fait appel à un député pour faire une proposition de loi à l’Assemblée Nationale. Reste à savoir si celle-ci aboutira au cours des prochains mois ou années.
Un décret va obliger les applications GPS à sensibiliser les utilisateurs sur leur impact carbone au volant. De plus, elles devront indiquer les zones de faibles émissions (ZFE) et proposer des parcours alternatifs pour moins consommer de carburant… ou pour moins déranger les riverains de zones habituellement calmes.
Les grandes applications GPS vont devoir intégrer de nouvelles fonctionnalités, et plutôt rapidement. D’ici la fin d’année, Waze, Google Maps ou encore Plans devront en effet tenter d’informer les utilisateurs sur leur impact « carbone » lorsqu’ils se déplacent en véhicule motorisé. Pour les automobilistes, cela signifie qu’à chaque fois que vous programmerez un itinéraire sur votre application préférée, vous aurez de nouvelles informations et des conseils pour diminuer vos rejets de dioxyde de carbone, qui vous seront par ailleurs indiqués selon un calcul qui sera « rendu public » prochainement. Il tiendra compte de tout : de l’extraction/raffinage du carburant à l’utilisation de votre véhicule. Pour le reste, voici comment cela va se matérialiser dans la pratique.
Le décret signé et mis en avant par le ministre des Transport, Elisabeth Borne mais aussi Agnes Pannier-Runacher et Christophe Bechu, prévoit de grosses évolutions pour les Waze et Google Maps. En voici la liste, qui est plutôt longue :
Rendre accessible facilement à leurs utilisateurs un message de sensibilisation concernant les alternatives à l’utilisation du véhicule individuel ;
Au plus tard le 1er décembre 2022, intégrer l’ensemble des données sur les services de transport réguliers
Au plus tard le 1er décembre 2023, intégrer l’ensemble des données sur les services de partage de véhicules, de cycles, de cyclomobiles légers, d’engins de déplacement personnels, ou sur les déplacements à pied, mises à disposition sur le point d’accès national susmentionné ;
Concrètement, les applications devront indiquer à l’utilisateur les alternatives moins « carbonées » pour effectuer son trajet. Que ce soit en véhicule particulier, ou avec des moyens de locomotion partagés (Waze le propose déjà avec « Wazecarpool), voire à vélo. Les « services numériques d’assistance au déplacement sont tenus d’indiquer à leurs utilisateurs incluent au minimum les informations intégrées dans la base de données relative aux zones à faibles émissions mobilité ». En clair, vous serez prévenus si, sur votre trajet, vous allez traverser une ZFE. Pratique, notamment dans ce cafouillis national où les métropoles ont toutes des plannings différents.
Enfin, une ligne ne passe pas inaperçue : « les services numériques d’assistance au déplacement veillent à tenir compte en continu de ces informations dans la proposition d’itinéraire adressée à l’utilisateur. En particulier, dans des conditions de trafic exemptées d’événements routiers sur les voies non secondaires, les services numériques d’assistance au déplacement s’efforcent de proposer à l’utilisateur un itinéraire évitant l’usage massif de voies secondaires non prévues pour du trafic intensif, notamment en s’assurant que le temps de trajet restant est réduit d’au moins 10 % comparé à l’itinéraire maximisant l’usage de voies non secondaires ».
En fait, c’est pour éviter que les applications n’envoient un peu trop facilement les utilisateurs sur des routes secondaires et dans des zones où la circulation est d’ordinaire faible. A cause de Waze, notamment, de nombreuses zones calmes ont vu une forte augmentation du trafic, avec des automobilistes guidés par Waze sur ces itinéraires secondaires.