Carnet de route : la Côte fleurie en Mitsubishi Eclipse Cross PHEV

Dans notre Carnet de route de ce mois-ci, nous vous proposons une nouvelle balade en Normandie. La région à la nature éclectique, jouit d’une riche biodiversité, l’un des nombreux atouts de ce coin de France. Au cours de cette journée de découverte, nous avons rencontré des acteurs impliqués dans sa protection et au-delà, au volant d’un SUV hybride rechargeable tout-terrain, le Mitsubishi Eclipse Cross PHEV.

Cabourg, l’une des stations balnéaires les plus populaires du pays, nous accueille pour notre départ. Depuis la plage au pied du célèbre Grand Hôtel et sa vue infinie sur l’horizon, nous passons en revue une dernière fois notre itinéraire. Le Mitsubishi Eclipse Cross PHEV nous paraît tout indiqué pour explorer la somptueuse Côte Fleurie et celle de Grâce que nombre d’écrivains et peintres ont adoré mettre en valeur. Pour l’heure, nous traversons juste la Dives pour rejoindre le marché aux poissons de la ville du même nom. Les pêcheurs y déversent depuis leurs chalutiers leurs marchandises tout juste ramenées du large.

Quelques kilomètres plus loin, nous débarquons à Houlgate. Les falaises ici ne ressemblent à aucune autre. Celles des Vaches Noires recèlent de fossiles de nombreux reptiles et courent jusqu’à Villers-sur-Mer. D’après la légende, ce sont les marins qui les auraient baptisées ainsi. Depuis leurs bateaux, la vue de la côte évoquerait un long troupeau. Il s’agit surtout d’une curiosité géologique qui passionne les spécialistes de paléontologie. Les courageux promeneurs peuvent suivre un sentier dédié, pour découvrir le plateau où la nature reprend ses droits, après quelques constructions laissées par l’homme, notamment lors de la Seconde guerre mondiale.

Nous prenons maintenant la direction de notre première rencontre. Notre valeureux compagnon de route, continue de se mouvoir en silence, sur sa seule force électrique. Nous quittons le littoral, pour les environs de Lisieux via la départementale bien connue des Normands, la D45. Le moteur thermique de notre Eclipse Cross finit par s’inviter à l’étape, lors notamment de certaines relances appuyées. Notre destination se situant à plus de 40 kilomètres, nous avons épuisé la batterie. L’absence de boîte de vitesses rend la conduite fluide comme aucune autre hybride rechargeable du marché. Les transitions d’un mode de propulsion à l’autre sont à peine perceptibles.

La préservation de la faune

Nous arrivons au zoo de Cerza à Hermival-les-Vaux. Thierry Jardin, le gérant du leader des parcs de loisirs de Normandie, est un homme pressé. Le déjeuner des animaux n’attend pas. Pour gagner du temps, nous attachons une remorque pleine de nourriture à notre SUV hybride, capable de tracter jusqu’à 1 500 kg. Ce visionnaire nous fait part de sa stratégie pour défendre les espèces menacées, qu’il couve avec ses équipes. Pour éviter l’extinction de certaines d’entre elles. Il précise que la meilleure façon de sauver toute la faune, passe par l’éducation des populations. Il démystifie ainsi l’idée reçue selon laquelle les animaux du bout du monde, seraient mieux ailleurs.

Nous quittons cette incroyable endroit, où l’on passe d’un décor de safari où s’y perdrait un fauve, à la nature typiquement normande. On remonte maintenant la vallée de la Calonne, très verte. On trouve ici une quiétude sans égale, en plein Pays d’Auge. Nous en profitons pour se reposer sur la confortable puissance de 188 ch à disposition sur notre Eclispe Cross. Le mode Tarmac, comme sur la légendaire Mitsubishi Evo, puise toute l’énergie dans les trois moteurs. Le but n’est pas de concurrencer les meilleures sportives, toutefois l’ensemble suffit à effacer tous les obstacles qui se présentent, comme les nombreux camping-caristes. Nous jetons un œil à la consommation, qui demeure remarquable, avec un chiffre plafonnant à peine à 7 litres aux 100 km, malgré notre rythme mené tambour battant.

L’île aux oiseaux

La D579 nous ramène vers la côte, que nous rejoignons à Criquebœuf. C’est probablement le meilleur spot pour prendre le temps de découvrir l’estuaire de la Seine et sa plage de 4 kilomètres. Les bateaux habillent l’horizon, comme une invitation à la navigation. C’est parfait, Jean-Marie Delamare patron du club nautique de la ville de Vierville nous y attend. Cette cité est bien connue des cinéphiles pour avoir abrité le tournage d’un classique d’Henri Verneuil, un singe en hiver. Le maître des lieux nous guide pour mettre à l’eau l’embarcation qui nous emmènera en balade. Nous maîtrisons maintenant bien la manœuvre. Mais une houle naissante, va agiter notre entretien lors de notre sortie, ne perturbant en aucune façon Jean-Marie Delamare, qui barre vers l’îlot artificiel du Ratier, appelé aussi l’île aux oiseaux.

Ce n’est pas un hasard, car ici viennent se poser de nombreuses espèces de volatiles, dont certaines en migration. L’île se révèle stratégique pour protéger en partie ce qui constitue la seconde réserve ornithologique du pays, après la Camargue. La flore s’y est également invitée, avec à ce jour une trentaine de variétés de plantes répertoriées. La fin de journée approche, nous rentrons au port pour conduire un peu plus vers l’ouest, à la poursuite des derniers rayons de soleil. À cette période de l’année, l’activité intense nous pousse à passer Trouville sans s’y arrêter, jusqu’à Deauville. Il demeure toutefois toujours saisissant de voir le contraste entre la vie ordinaire du port de pêche, et autour le grouillement des touristes. Nous stationnons maintenant sur la frontière naturelle délimitant la Côte Fleurie de la Côte de Grâce.

La préservation de la biodiversité ne passe pas que par le maintien de ce que nous a offert la nature. L’Homme doit parfois lui-même mettre la main à la pâte pour sauver ces écosystèmes, au point d’ériger des foyers pour les animaux qui ne sont pas en mesure de le faire. L’île du Ratier et le zoo de Cerza en sont de bonnes illustrations. Avec l’Eclipse Cross PHEV, Mitsubishi démontre que l’automobile peut également tenir sa place, sans impacter directement la belle nature de nos régions.

Mitsubishi ECLIPSE CROSS PHEV

Chez Mitsubishi, le best-seller Outlander PHEV disparaît, et lègue sa transmission hybride au nouvel Eclipse Cross. Il garde ainsi les avantages de cette motorisation, proche d’une voiture électrique avec un prolongateur d’autonomie alimenté par le thermique. Il sert aussi à la traction de ce SUV à la puissance cumulée de 188 ch. Le Japonais se distingue par son look futuriste, et par sa vraie transmission intégrale. Il dispose également d’un autre atout, la possibilité de brancher des équipements externes, voire d’alimenter une maison en électricité grâce à sa batterie. L’Eclipse Cross contient ses tarifs, compris entre 39 990 € et 47 490 €. 

Source : https://www.auto-moto.com