Faites régler vos phares
Puisque l’on parle d’optique, votre futur trajet de nuit est une très bonne raison pour aller faire régler vos phares. Ni trop hauts, pour ne pas gêner les autres conducteurs, ni trop bas pour qu’ils éclairent véritablement votre route.
Il est recommandé d’effectuer cette opération au moins une fois par an. Et n’oubliez pas, si votre voiture est très chargée, vous devez adapter le réglage de votre éclairage. Rassurez-vous, c’est facile à faire depuis l’habitacle de la plupart des voitures !
Redoublez de vigilance
Une fois en route, la première des choses à faire pour le conducteur de nuit, est de s’efforcer de rester alerte et de prêter attention à ce qui se passe sur la route. Au bout de quelques dizaines de kilomètres sur une route droite et dégagée, une certaine monotonie peut s’installer et endormir votre vigilance.
Pour lutter contre ce phénomène, concentrez-vous sur la route, sur les phares des voitures qui vous croisent et vous précèdent. Contrôlez plus souvent vos rétroviseurs et ouvrez régulièrement la fenêtre pour vous « revitaliser ». Et même si la route n’appartient qu’à vous, faites des pauses au moins toutes les 2 heures !
Guettez les signes de fatigue
Il est important de savoir détecter les signes de fatigue lorsque l’on s’apprête à rouler de nuit. Sensations de picotements dans les yeux, bouffées de chaleur, rigidité de la nuque, épaules douloureuses… Autant de symptômes à prendre au sérieux et qui doivent vous pousser à passer le volant. Vous pouvez également vous arrêter 20 bonnes minutes dès que possible afin de prendre un peu de repos.
Autres signes révélateurs, vous devenez irritable, susceptible, vous vous énervez à la moindre contrariété… Pas d’hésitations à avoir, il faut vous reposer ! Mieux vaut donc arriver tard que de ne pas arriver du tout !
Augmentez vos distances de sécurité
Sur les autoroutes surchargées en été, il n’est pas toujours évident de respecter les distances de sécurité. Et pourtant c’est primordial pour préserver sa sécurité. La nuit ne fait naturellement pas exception à cette règle d’or, au contraire. Il est même particulièrement conseillé d’augmenter vos distances de sécurité.
En effet, dans l’obscurité et à la simple lueur des phares, vous mettrez plus de temps à réagir ! En plus allonger cette distance vous évitera d’éblouir le chauffeur de la voiture qui vous précède avec vos phares.
Adaptez votre vitesse
La nuit, avec un trafic plus léger, voire inexistant, la route donne parfois l’impression de nous appartenir. Il peut donc être tentant d’accélérer au-delà des limites autorisées. Erreur, c’est l’inverse qu’il faut faire : rouler moins vite que de jour, afin de se laisser plus de temps pour réagir aux aléas de la route.
Et si vous démarrez à la tombée du jour, rouler moins vite c’est aussi vous donner le temps d’adapter votre vision à l’obscurité naissante.
Mettez-vous dans les meilleures conditions pour rouler de nuit
Préparez votre itinéraire, ou utilisez un GPS à jour, pour éviter les hésitations. Pensez à avoir une bouteille d’eau à portée de main, voire un brumisateur en cas de fortes chaleurs.
Pour votre confort, choisissez des vêtements amples qui vous permettront ainsi d’être à l’aise pendant la route. Pour éviter l’ennui, concoctez-vous des playlists avec vos musiques favorites, ainsi que des podcasts d’émission de radio. Et bien sûr, mettez vos passagers à contribution pour qu’ils vous fassent la conversation !
N’hésitez pas à réagir et à compléter ces conseils par vos propres astuces ou à partager vos expériences de routes de nuit !
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